Anaïs

Éternelle curieuse et touche-à-tout, indépendante, déterminée et optimiste, j’ai eu l’envie de lancer une ASBL qui prônait les valeurs qui me sont chères et qui poursuivait des missions essentielles à mes yeux.

Forte d’une expérience en tant qu’avocate depuis plus de 7 ans, spécialisée en droit de la famille et de la jeunesse, j’ai croisé de nombreuses situations familiales, dont certaines très chaotiques. Si dans certains cas, je continue à penser que le passage devant le juge est utile, je suis persuadée que dans de nombreux cas, la médiation ou la justice restauratrice a bien davantage à apporter.

J’ai donc décidé depuis 2024 de me consacrer pleinement à la médiation en laquelle je crois fondamentalement et de m’éloigner des salles d’audiences et prétoires.

J’ai toujours adoré partager et transmettre les apprentissages aux autres ainsi qu’aux générations futures et aime croire que nous avons tout à gagner à mieux nous connecter à nos besoins, nos sentiments et nos émotions en vue d’améliorer nos relations. Commençons donc par enseigner ces outils aux plus jeunes pour l’espoir d’un avenir meilleur.

Comment suivre cette double mission autrement que par l’intermédiaire de Trêve ?

Joséphine

Sensible à la question humaine et surtout aux relations que tout un chacun entretient au cours de sa vie, j’ai décidé d’orienter mon parcours en ce sens. Dans cette optique, j’ai entamé des études de droit à L’Université Catholique de Louvain, sur les bancs de laquelle j’ai d’ailleurs rencontré Anaïs. Destin ?

Connaissant ma manière de fonctionner, j’avais déjà conscience à cette époque que la procédure judiciaire n’était faite ni pour moi, ni pour ma personnalité de nature plutôt conciliante. Je me suis donc renseignée sur les modes alternatifs de règlements des conflits, et plus particulièrement sur la médiation. Celle-ci m’a séduite car, en offrant un cadre neutre et bienveillant, elle permet à chacun de se saisir de ses propres ressources pour aller de l’avant dans la gestion du conflit qui l’anime.

Ce n’est que quelques années plus tard, après plusieurs expériences comme juriste dans le domaine de la jeunesse, que je me suis plongée plus concrètement dans ce monde en intégrant, en 2019, un cabinet de médiation à Bruxelles.

Me voilà aujourd’hui agréée en matière familiale par la Commission fédérale de médiation, et envahie d’une envie d’entreprendre et de promouvoir ce beau métier avec Anaïs.